muhamad yunus
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muhamad yunus
Muhammad Yunus a créé une nouvelle forme d'activité
économique: le « social business ». Le but ? réduire la pauvreté.
Dans les années 1970, au Bangladesh (Asie), Muhammad Yunus, économiste et entrepreneur, propose à des villageois des micro prêts de quelques dollars. L'achat d'une poule permet de gagner un peu d'argent pour vendre des neufs et rembourser le prêt.. «10 emplois font manger 10 familles », ditil. En 1976, il crée sa propre banque, la Grameen Bank.
nord du Bangladesh. «C'est la réconciliation du capitalisme et de l'humanisme. Chaque entreprise, chaque individu peut décider de le faire. Ça ne veut pas dire changer tout le système, mais toutes les entreprises ne veulent pas faire un maximum de profits», explique le prix Nobel. Des critiques commencent à émerger
des prêts de plus en plus utilisés comme crédit à la consommation, avec un risque de surendettement pour les familles, des taux d'intérêt trop élevés, un suivi insuffisant de l'activité... Yunus reconnaît tout ça, mais insiste : «Plutôt que chercher un emploi, il vaut toujours mieux
en créer un. »
PROFITS
Le microcrédit consiste à
accorder un prêt de faible montant à une personne ayant un projet économique mais exclue des prêts bancaires classiques. Trente plus tard, fort de ses succès, Yunus se lance dans le « social business ». En 2006, il convainc le P.-D. G. de Danone de créer la Grameen Danone Food, usine
de yaourts « sociale », dans le Muhammad Yunus a commencé par enseigner . Puis de plus en plus, en fonction de leurs remboursements, précise John. Le microcrédit offre à ces femmes travailleuses, économes et très fiables un accès à l'emploi. » Et certaines voient même leur activité s'envoler. C'est le cas de Kanagavalli, qui emploie aujourd'hui cinq femmes. Installée près d'un des plus hauts temples hindous du pays, elle a misé sur le tourisme. «Nous fabriquons des sticks de craie
et nous ajoutons du santal. Les gens qui viennent au temple s'en mettent sur le visage. Nous sommes l'unique fournisseur des boutiques bordant le temple», élit-elle. Preuve que l'affaire marche, la jeune femme ne peut satisfaire la demande. Et elle a déménagé avec sa famille dans un appartement plus grand.
Olivier Gasselin
(envoyé spécial en Inde)source;Lactu n°3114 23 mars 2010 quest:Que pense tu de cet maniére de partagé les richesses?
économique: le « social business ». Le but ? réduire la pauvreté.
Dans les années 1970, au Bangladesh (Asie), Muhammad Yunus, économiste et entrepreneur, propose à des villageois des micro prêts de quelques dollars. L'achat d'une poule permet de gagner un peu d'argent pour vendre des neufs et rembourser le prêt.. «10 emplois font manger 10 familles », ditil. En 1976, il crée sa propre banque, la Grameen Bank.
nord du Bangladesh. «C'est la réconciliation du capitalisme et de l'humanisme. Chaque entreprise, chaque individu peut décider de le faire. Ça ne veut pas dire changer tout le système, mais toutes les entreprises ne veulent pas faire un maximum de profits», explique le prix Nobel. Des critiques commencent à émerger
des prêts de plus en plus utilisés comme crédit à la consommation, avec un risque de surendettement pour les familles, des taux d'intérêt trop élevés, un suivi insuffisant de l'activité... Yunus reconnaît tout ça, mais insiste : «Plutôt que chercher un emploi, il vaut toujours mieux
en créer un. »
PROFITS
Le microcrédit consiste à
accorder un prêt de faible montant à une personne ayant un projet économique mais exclue des prêts bancaires classiques. Trente plus tard, fort de ses succès, Yunus se lance dans le « social business ». En 2006, il convainc le P.-D. G. de Danone de créer la Grameen Danone Food, usine
de yaourts « sociale », dans le Muhammad Yunus a commencé par enseigner . Puis de plus en plus, en fonction de leurs remboursements, précise John. Le microcrédit offre à ces femmes travailleuses, économes et très fiables un accès à l'emploi. » Et certaines voient même leur activité s'envoler. C'est le cas de Kanagavalli, qui emploie aujourd'hui cinq femmes. Installée près d'un des plus hauts temples hindous du pays, elle a misé sur le tourisme. «Nous fabriquons des sticks de craie
et nous ajoutons du santal. Les gens qui viennent au temple s'en mettent sur le visage. Nous sommes l'unique fournisseur des boutiques bordant le temple», élit-elle. Preuve que l'affaire marche, la jeune femme ne peut satisfaire la demande. Et elle a déménagé avec sa famille dans un appartement plus grand.
Olivier Gasselin
(envoyé spécial en Inde)source;Lactu n°3114 23 mars 2010 quest:Que pense tu de cet maniére de partagé les richesses?
Dernière édition par A le 18/8/2010, 15:00, édité 1 fois
Re: muhamad yunus
C'est bien mais il est important qu'il exsite une situation d'égalité.
Admin- Messages : 943
Date d'inscription : 11/05/2010
Age : 27
Localisation : Lyon
Re: muhamad yunus
Je trouve cette idée FAN-TAS-TIQUE
Elle est astucieuse, simple et elle conscilie parfaitement le capitalisme et le social. (dsl pour la répétition)
Plus de gens devrait ce lancer là-dedans
Elle est astucieuse, simple et elle conscilie parfaitement le capitalisme et le social. (dsl pour la répétition)
Plus de gens devrait ce lancer là-dedans
Antus- Messages : 300
Date d'inscription : 06/07/2010
Age : 27
Localisation : dans une galaxie lointaine, très lointaine... . »
Re: muhamad yunus
Ce que je voulais dire et je suis d'ailleurs d'accord avec vous, c'est qu'il faut toujours faire attention à que ceux qui donnent pour qu'il finissent pas de ce fait par se croire supérieurs.
Mais sinon, bien sur, cette idée est très judicieuse.
Mais sinon, bien sur, cette idée est très judicieuse.
Admin- Messages : 943
Date d'inscription : 11/05/2010
Age : 27
Localisation : Lyon
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